Un p’tit dernier… Chaback!
Vous prendrez bien un p’tit dernier… Chaback?
Eh oui, ce p’tit dernier, vous l’avez entre les mains, tout frais et dernier d’une longue série puisqu’il porte le N° 148. Pour mémoire, le Schadrack N° 1 est paru en février-mars 1974.
Depuis plusieurs années, le comité CD a cherché la face de Dieu pour connaître ce qu’il voulait pour la suite de ce ministère, et donc pour le journal Chaback, après la retraite officielle des Kreis en été 2015. Il a discerné que cette œuvre, suscitée par lui en 1971 et fort utile durant des décennies à une jeunesse souvent déboussolée, avait fait son temps et arrivait à son terme. Cette décision a été confirmée par l’Assemblée générale de juin 2015 qui a voté sa dissolution. Nous sommes confiants que Dieu suscitera d’autres ministères pour les temps qui viennent, qui seront mieux équipés pour les défis présents et à venir.
Pour ce qui concerne les CD, il a été décidé que le ministère et le journal Chaback prenaient fin en juin 2015, mais que le site serait repris par les Kreis afin que les dossiers de Chaback restent disponibles sur l’internet. A l’occasion, ils y mettront quelques nouveaux articles ou chroniques. Vous y retrouverez en particulier la plupart des articles de Chaback de ces vingt dernières années… un vrai petit trésor et une ressource toujours disponible. Classés par thèmes et catégories, vous trouverez facilement les articles sur le sujet qui vous intéresse.
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Il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter bon vent, celui de l’Esprit, et bonne lecture!
Alain et Anne Kreis
Une lettre de lecteur
«Nous avons bien reçu votre ultime lettre de nouvelles et son contenu nous a vraiment émus. Vous voilà, après des années de labeur, touchés dans votre corps, ce corps qui nous fait sentir d’autant plus nos limites.
»Nous, qui avons pris part avec de bien modestes contributions, à l’aventure des CD, nous vous félicitons encore pour la sage décision de mettre un terme à ce projet, qui était propre à une époque déterminée. Ce faisant, les nouvelles générations peuvent imaginer de nouveaux projets sans porter un héritage qui risque peut-être de les encombrer.
»Bien à vous, avec nos très fraternels messages.»